Morne Larcher paisible… la tête au rocher… Du Diamant, allongé comme une demoiselle, Semble attendre l’amant, des heures … immortelles ! Que des vents marins jaloux osent caresser…
Surveillé de palmiers d’une plage exotique, Son cou nonchalant attend le baiser mouillé ; Comme l’encre de ma plume, au papier couché, Que lasserait un nuage aux chants des tropiques !
De l’écume à la mer qui panache son île, Il lui manquerait presque ! un « verre » qui pétille ! : « Les Grenadines » ! à vue de son horizon ;
Mais… mais, pourquoi donc ! ne pas lancer quelques pailles ! Vers ces îles, « tel » un Guillaume ! non de non ! Puisque c’est toi, Larcher ! morne, que soif tenaille !