« Un Sabbat créé pour les hommes Et non l’homme pour le Sabbat. » Nouvelle donne en ce royaume Qui Lui vaudra le Golgotha, Afin que nos cœurs se pénètrent D’Amour : Ö Sève du printemps, Etait bien dure à leur soumettre En des esprits encore lents…
Un règlement égal oblige En toutes civilisations, Mais conséquences nous affligent Dans sa réelle exécution, Où des situations sans âmes Ne rendent compte que les faits, Nous pénalisant par un blâme L’initiative d’un bienfait.
Quand cet instant l’on se réveille ! Parce qu’il est encore temps ! Au grand Amour qui émerveille ! Exorcise éternellement !
Compréhensible les coutumes, Mais en dépendre il ne faudrait, Où tant d’excès ne se résument, D’entêtements, que d’intérêts. Et négliger ce que le thème Nous était pourtant destiné : « Vivre ensemble pour que l’on s’aime, Ne point en nous être borné. »
Pour nous humains, ce paradoxe Est un cadeau empoisonné, Que nous vivons comme une intoxe Vécue « au nom des libertés » ! Nous assurant qu’elles existent, « Sans aucune haine, bien sûr », Le sacrifice en nous persiste ; Qu’en seul martyr… pour être sûr !
Quand cet instant l’on se réveille ! Parce qu’il est encore temps ! Au grand Amour qui émerveille ! Exorcise éternellement !