Nous t’avons cherché à travers ses longs silences, Que l’on entend si bien, au désert à jamais… Sa beauté d’âme, au mirage subodorait ! L’amour en son sein, suggérant une présence…
Chantait sa voie un chœur, sous toute vraisemblance… Encore incertain, que leur couple chérissait… Et ton père en géant, épelait l’alphabet ! D’une voie sacrée, pour une lettre en jouvence…
Quand ta lumière ensoleilla ses deux prunelles, Vint ce jour… où ta mère, annonça sa nouvelle ! : – Lionel et moi ! agrandissons notre univers… –
Alors ! Je mis ma plume encrée sur une feuille ! Gravant…: Maëlys ! au poème qui recueille, L’élixir d’un nouveau-né, en ce dernier vers…