Parce que l'on donne... l'on se croit tranquille...
« Vous qui avez dormi dans un lit cette nuit, En notre Jésus Christ où sont-ils, eux, les pauvres ? Les loger, en sauriez incapables vous autres… Bien qu’ils s’y sentiraient pas chez eux ; sans le buis.
Et nous entendons la fraîcheur des évangiles, Sortir de la bouche, un message, de l’abbé ! Qui jette aux visages les crues réalités : Parce que l’on donne… l’on se croit tranquille… »
L’église d’Argenteuil prit à témoin l’écho ; L’hiver à sa faim : la douleur et la prière. Croire, mais pas en nous, disait Victor Hugo.
Il n’y a pas d’amour sans aller au charbon. La bêche est-elle salit… à la terre nourricière, Qui pour notre pain, nourrit la graine du bourgeon ?
L’hiver est sur les dents le doux printemps arrive. Les promesses aux malheurs fondent au soleil.
Le politique à l’affût rit et ne s’en prive. L’aide aux logements ne sera pas que bon miel…