« Ne suis venu porter la paix, Mais bien vous imposer le glaive… » ; Parabole qui séjournait, Depuis deux mille ans comme un rêve.
Quand bien parmi les insouciants, Doucement les âmes s’éveillent, Et que d’autres, tous mugissant Ne voudront qu’elles s’émerveillent,
L’un sous l’idole de Satan Qu’impose ses lois ténébreuses, L’autre, en amour des Cieux aimants Que prêchent les voies lumineuses.
Je scalperai au grand jour La face hautaine et flambante De la bêtise au pas lourds Ecrasant l’âme innocente Qui murmure aux alentours La main levée et saignante Ses gouttes rougies d’Amour Dans une lutte incessante
Pour ce conflit de l’intérieur, Où naissent nos bêtes sauvages, Porter sa croix en tous malheurs, Vaincre sa haine avec courage.
Mon Dieu ! J’en supplie aux meilleurs De très nombreuses disciplines, Qui ont la passion des valeurs, Bien enchâssées en leur poitrine,
Qu’ils deviennent pour les enfants ! De sains piliers au temple immense, Leurs exemples symbolisant, La lumière de leur enfance…
Je scalperai au grand jour La face hautaine et flambante De la bêtise au pas lourds Ecrasant l’âme innocente Qui murmure aux alentours La main levée et saignante Ses gouttes rougies d’Amour Dans une lutte incessante