Oh ta maman te porta d’innombrables jours En son corps en son sein sous ses ailes de femme Que ton père chérit de son regard en larmes Quand leurs mains tendrement sur ce ventre d’Amour
Attendu tu le fus de gens aux alentours Et désiré plus que tout d’âmes consentantes Unissant leurs corps d’une musique éloquente Cristalliser l’idée par ce compte à rebours
Premier jour premier cri annonça ta présence Par ce souffle sacré suite à la délivrance Sous quatre grands yeux pétillants d’admiration
Puis chacun apporta sa touche de nuance Sur ton corps maladroit caressé d’innocence Que la Vie modela de son inspiration
Temple insolite au paysage se révèle Où rose aussi passe et parfume d’aquarelle
Ce doux prénom qui illumina tes parents Pour câliner le fruit de leur amour Vincent