Comme une meute irisée à ses talons, Jadis, dans une chasse à cours à perdre haleine, Aux « corps » jouant, une charge, aux chants de « l’arène », Qui hurle ses notes en écho par million.
Toujours est à son sein… ce long ballon royal, Que crispe son bras vers une terre promise…, Au souffle de ces regards qui immortalisent ! Son essai plaqué, dans un plongeon magistral !
Lorsque l’arbitre pour une faute commise, Appelle à la mêlée, ces géants rugbyman’s ! Aimerait… qu’ils deviennent de vrais gentleman’s !
Qui, arc-boutés pour former l’igloo, focalisent « Leur étoile » dans un grondement de sabots, A la mesure d’une plume, au scénario !