Je les aurai aimés au-delà de mes forces Tous mes amis qui m’ont tellement soutenu M’apportant l’affection qui jamais ne divorce Et les élans du cœur et de l’âme éperdus
Car c’étaient les copains de l’existence belle Ceux qui étaient présents dans mes moments de spleen Et nos rires fusaient comme des sources tels Les immenses vitraux aux couleurs les plus fines
Chacun d’entre eux était un être très sacré Qui me fit entrevoir les ciels les plus lointains Or nous avons vécu l’éternelle amitié
Laquelle ne meurt pas et jamais ne s’éteint Elle est pleine de grâce pure de bonté Ô mes amis je vous aurai donc tant aimés