Un matin de Toussaint le petit cimetière Fleuri de San José m’a livré le secret De la tombe anonyme où l’on avait gravé Les dates et le nom que la raison requière.
Eh non, votre inconnu n’avait pas lu Voltaire M’assura sur l’instant un homme qui priait Pour que repose en paix le vieil aventurier Dont j’étais à deux doigts de percer le mystère...
Pilote d’un bolide à Indianapolis Ou marchand de tapis made in Persépolis Notre Alonzo Bridges avait couru le monde
Pour un jour rendre l’âme, ô combien vagabonde, Sur les hauts d’Ibiza me confia ce Yankee Retraçant le parcours de son copain Rocky,
Pseudo du dit quidam qui nous aura laissé… « La vie est un tango qu’il faut savoir danser ! »