C’est un petit pays aux quatre cents fromages, Un simple confetti perdu dans l’Univers Avec ses qualités mais aussi ses travers Au point de mélanger l’Etat et les Rois mages...
Au jeune automédon menant notre attelage Par des chemins bordés de périlleux dévers Où fleurissent la haine et les propos pervers, Il faut bien du sang-froid mais aussi du courage
Face à des boutefeux qui, perdant la raison, Réclament la récolte avant les semaisons... Hélas ai-je pensé, malgré nos Droits de l’Homme,
Malgré nos grands principes et nos beaux sentiments, Nous voici de nouveau dans les affrontements... Que j’ai honte de nous, débiles que nous sommes !*