Prison à ciel ouvert puis théâtre de guerre Sur terre et dans les airs, si Tsahal persévère De Gaza la « rebelle » il ne restera guère Qu’une ville éventrée aux immeubles rasés, Une cité maudite où gisent par milliers, Les gravats pour linceuls, des boucliers humains Victimes du Hamas qui s’en lave les mains… Pourtant, que nous soyons croyants ou mécréants, Sans oublier Sara, assassinée à Kfar Aza, Faut-il laisser mourir les enfants de Gaza ?