Hier c'est arrivé, C'en est trop, c'en est assez, D'être dans ma maison, Comme dans une prison,
Le temps est venu, Je l'avais prévenue, L'amour pour mes enfants, L'amour de mes enfants,
Ne suffit plus, à me retenir, Je n’en peux plus de souffrir, Il faut que je me libère, Tout cela sans colère.
Pour recouvrer de la liberté, Pour retrouver ma dignité, L'avocat, des écheveaux du droit, A démêler les fils sera adroit,
A moins d'un brutal changement, De cette maison il y aura déménagement, Mais par nos attitudes trop souvent déçus, Ni mon cœur ni mon âme n'y croient plus.