La vague te caresse, amoureuse, inlassable, Se retire et revient en grondant de plaisir, Ta finesse, en douceur, provoque le désir D’un repos espéré mais indéfinissable...
Le désert, un royaume, au puits intarissable, Océan dans lequel Éole va choisir De sculpter la surface en dunes à loisir ; Pour beaucoup d’entre nous : barrière infranchissable...
Pour gripper la machine, un petit grain suffit ; Tu livres le sommeil au marchand de la nuit ; Tu décomptes le temps, prisonnier dans le verre...
D’une fleur romantique au doux reflet vermeil, Tes pétales de sable en offrande à la Terre Exhalent de la rose un parfum de soleil !