Ô Femme! Sur ton corps je prends vie, Telles les notes d’une partition je deviens mélodie... Petits chiffons de dentelles en satin ou en soie, Tu me reçois en quelque matière que ce soit...
Ô Femme! Souligner la courbe d’un sein m’embellit ; Que ta peau soit laiteuse, ébène ou ambrée, elle fleure le paradis ; Que tu sois féline, libertine ou coquine, A mon contact, parure dans ton écrin, tu deviens cristalline...
Ô Femme! Comme toi, qu’importe ma couleur... Mon seul espoir te donner douceur et bonheur. Sur ton corps tout en longueur et en rondeurs, Moi, « Lingerie » ! Je ne suis que du leurre...
Ô Femme! Pour moi, ton corps n’a plus de secret, Mais sans moi il n’a plus de mystère... De notre union est née la séduction, Si tendre et si fragile qu’elle en devient émotion !
