Plages de sieste sur des mers d’huile, Vinaigres émulsés à l’écume des flots, En colonnes rayées, des parasols palots Ecaillent le sable d’un toit de tuiles.
La promenade de bois trace le boulevard Où les élégantes lorgnent le casino Dans l’ambre cramoisie de leur porto fino, Prenant pour des émirs les pires des tricards.
Mon palace aux vents, modique Taj Mahal, Vaut plus que tout les ors et que l’argent fatal. Des bouquets explosent au ventre de Chloé.
L’amour est un poison pour ceux de ma race. Toi femme liane, moi triste Crusoë Dans l’écho dévasté des pauvres palaces.