Je me suis trompé. J’ai cru que l’harmonie Etait le grand reflet du trois en l’Unique, Que les cinq corps parfaits de l’aire sphérique Etaient le fondement. Maintenant je le nie.
Dans des feuillets noircis et jadis tant honnis, J’ai trouvé un trésor. Rien n’est magique. Ni sphère fixe ni rond géométrique Ne retient les étoiles en symphonie.
Les planètes courent le long des ellipses, Le temps est espace que rien n’éclipse, De carrés en cubes se compte l’orbite.
Car voici mes trois lois qui sont toute ma foi. Elles sont l’avenir dont sans peur j’hérite. Et même le bûcher n’étouffera ma voix.