Mon cher Karl, cher ami, du code de César Je garderai les clés. Machines béliers, Fronts lisses, je cache, si je vous laisse l’art, De la manière, le secret entier.
L’angoisse transpire aux peaux les plus tannées, Jamais aux aciers. Les lymphes plastiques Sont des vains ersatz dont les crus n’ont pas d’années Et qui ne peuvent couler à nos plaies mystiques.
Je crypte. Mon cortex, dans ses mille lobes, Lit vos logiques d’esprits claustrophobes. Mais laissez-moi douter qu’au vortex en fouillis
Des carters câblés de sombre bakélite La moindre larme salée ait un jour jailli. Mon Odyssée est celle d’un lent satellite.