La trame va et court les champs opalescents Des filigranes où les ombres s’alignent Et tordent leurs sarments comme ceps de vigne. En chansons obscures, les mots adolescents
Resserrent des marques d’onyx incandescent Qui sont là pour dire, alors que l’œil cligne, Qu’aucun tir de canon n’abattra l’insigne Des cohortes rangées en rangs arborescents.
Le combat s’engage et la plume s’abat. D’une aile de corbeau du plus noir des sabbats On la peut croire née tant son trait est digne
Des enfers de Dante. Le chœur évanescent Murmure sa course. La note, le signe … Et le texte s’écrit de sons effervescents.