Le bonhomme Richard dit au bon Benjamin : « Le temps, c’est de l’argent. «. Voilà qui m’étonne ! Mais alors le contretemps est-ce la bonne Ou la fausse monnaie ? Et des doigts dans mes mains,
Combien en est-il ? Deux pouces, cousins germains, Disputent les votes quand la clameur tonne Dans l’arêne pleine. Quand on est aphone, Deux index qui pointent et de leurs anneaux ceints
Deux fréres égaux, les droits annulaires Qui veillent leurs cadets, les auriculaires. Le bonhomme Richard, en brave libéral,
Voit que mes mains pendent au bout de bras inertes. « Mais tu es sans travail ! Hue, mon brave cheval ! « Il sut que mes majeurs servent aussi, certes.