Aux cors de la gloire, aux horloges de vent, Bûchers des vanités ! Aux soleils splendides, A l’or qui les corrompt, aux paris décevants, Aux combats exaltants, foires des candides !
Ma clairière vit de claires pénombres Où je me réfugie, parfois de guerres las, Pour guérir de ma vie, au cœur des décombres. Mais l’éternité va et qui me laisse là.
La mêlée fait rage. J’en surgis tout en sang Mais fier de ma fougue. Et tout m’éblouissant, Je ferme les yeux. Les cieux s’écroulent
Et l’instant qui suit, je mets genou au sol. Passent les minutes et le temps qui coule. A l’enfer qui m’attend, j’habite l’entresol.