Envahissement des nichons de poivre Son suc de Gésivaudan Me pénétrait comme une brume . Ses papilles reglues érigées de rosée Hoquetaient. Un jus splendide nous enveloppait Monument de la chair Nous nous taisions. Enfermés dans le bloc blanc de la nuit N'avions-nous plus de points communs avec nous mêmes ? Il manquera toujours à ma joie L'instant où tout devient poudre de silence. L'espace a refermé ses bras Rien n'est étreint.