Coup de tabac ce soir, Eclair, nuages noirs On démontés la mer Ou je voguais trop fier Insouciant et tranquille Alors qu'elle était d'huile. Oh marin, tas eu tord De ne pas rentrer au port! Souffle le tourbillon La colère de posseidon. Je ne laisserai rien derrière Je vais disparaitre en mer.
Une fin iodée A vie manquant de sel, Seul les regrets Sont éternels.
Que de jours d'insouciances, De tranquille plaisance Me reviennent en tête Au coeur de la tempète. Sur que sa a du déplaire A tous ceux en galère, Qui se gaussent a présent Des furieux éléments. Pas de lieux pour les fleurs, Pas d'adresse pour les pleurs, Je ne laisserai rien derrière Je vais disparaitre en mer.