Soirée triste du luxe au goût de pouvoir Lèvres crispées aux banalités sans expression Jalousies maquillées sur des musiques d'ambition Beautés fanées ou l'apparât du désespoir
Costumes de lin et cravates en soie Pour conjuguer briller en société Ventres adipeux, rides cachées Ou trouvent ils encore de la joie?
Vies de paroles et de paraître Société futile, courtisans sans roi Dépasser qui, battre quoi Ou s'est enfuit l'amour, notre maître ?
Ce sourire réveur que j'attends Cette naiveté d'une autre planète Ne peuvent être parmi ces têtes Je dois partir d'ici à temps
Très loin de ces repas mondains Innocence et fraîcheur de ta peau Je te verrai vivre, leur tourner le dos Bonheur tranquille entre tes mains