La femme vorace et acide aux dents de diamant Me sourit Sa bouche caresse un instinct femelle Et j’en ris Ses jambes se croisent et s’écartent Dans un éternel recommencement Elle rit
Deux fers chauds trouent son masque de fée Deux fers qui diffusent leur chaleur sexuelle Je la pris
Je pris cette langue avec ma pince à chair Belle pince ma foi mais de quoi avais-je l’air Vint ensuite la multiplication cellulaire
La femme de glace et de feu au sexe haletant Me sourit Deux lèvres dans un lit où l’on meurt Et j’en ris Je dis j’avais tout du monstre tétant Elle rit
Deux amandes trouent son front apaisé Deux amandes qui font un regard donateur Je la pris
Je pris cette langue avec ma pince à chair Belle pince ma foi mais de quoi avais-je l’air Vint ensuite la multiplication cellulaire
La femme veloutée à l’amalgame humain Me sourit Et dans le clair obscur des forces maléfiques Je la pris
La femme paritaire La femme cellulaire La femme tentaculaire
La femme agitée au rougeoiement félin Me sourit Et sur la route impure de la senteur mystique Je la pris