Ravage, dévastation, contamination … Futile regard de mon monde d’auourd’hui! Dommages, destruction, désertification … Triste vision de notre univers, en ses nuits!
César, sublime empereur, de là-haut, entend. Jamais autant de vies, jadis, sous ta gouverne, N’ont été massacrées. Oh hélas! À présent, Jamais mon cœur n’aura été autant en berne!
Quel malheur infligé! quel drame! Société, Réveillez-vous : recevez ma ferme complainte! L’heure viendra où la taïga sera d’été, Et les myrtes tropicaux se verront éteintes
Ouvrez vos yeux clos; la terrible vérité, En pleine figure, vous sera projetée …
Ne m’écoutez guère : fermez-les pour toujours; Demain : compte à rebours sur la fin de vos jours!…