Ah! La voilà … La voici qui m’observe M’ausculte et puise mes dernières réserves Ses crocs acérés déchiquetant chair et âme Triste mélancolie … à mon grand dam
Ses yeux reflètent, comme un miroir, cette Mort Qui nous prend tel un guide, plus fort, Pour mieux nous retirer la vie … Triste mélancolie … me détachant, ces temps-ci
Les lions légifèrent, les tigres tyrannisent La Mort mortifie son sourire, figé pour l’éternité Pas à pas, Elle attend patiemment que j’agonise Triste mélancolie … pour l’être écervelé
La pression m’attaque, une pathologie sans guérison, Sans nom … Sans façon! Un délire démentiel continuel … Triste mélancolie … triste nouvelle