De ce train de banlieue je vois le paysage Le ciel est presque absent, forêt de caténaires Architectures d'essais, publicités sauvages Les pavillons soigneux alignent leurs meulières
Les gens sur les balcons regardent le printemps Les arbres sont partout, comme sur-représentés Ils masquent nos erreurs, nous occupent un instant Comme ces coquelicots, je ne fais que passer.