Tes fesses, comme miroir de Lune, Eclairent mes nuits de rêves sans fin. Déesses bleues de mes infortunes, Evanescences des petits matins.
Intangibles, comme un souffle de vie Accroché aux espoirs amours folles, Elles se baladent, étoile d’envie, Sur laquelle mon désir caracole.
Ton sexe ouvre une porte merveille, Couleur de nacre et de nectar divin. Mes nuits de voyages s’émerveillent, Au-delà des escales du lointain.
Un regard bleu plonge au cœur des appels A demeurer sur les rives tendres, Langoureux et longs baisers virtuels, Où nos désirs cherchent à se s’éprendre.
Tes fesses de fée et tes petits seins, Ton grain de peau aux caresses de main, Ton ventre plat, les frissons de tes reins, Vagues et ressacs d’insatiable faim .