Il y a plus d'étoiles dans le ciel d'amour, Que toutes les galaxies n'en peuvent tenir. Elles scintillent en force feu du désir, Dans la recherche permanente des toujours.
Aveugle devant les pulsations des astres, Les yeux d'or grands ouverts sur des fascinations, En désir, l'être ne craint aucun désastre, Il s'étourdit de sa suave possession.
La voie lactée n'est qu'un long passage confus, Traîne mystère d'une galaxie noire, Elle déchire le velours d'un son diffus, Impasse sans fin de vœux aléatoires.
Un nom résonne, sourd, posé en aléa, Insatiable projection d'informes desseins, Constructions molles de flous desiderata, Étoiles filantes d’intangibles destins.