Couleur unie du désir et de nos amours Sur un étendard les marques de nos passions Flottent au vent du large rives d’un parcours Pour tenir un flux bleu de douce déraison
Un alizé chaud caresse la peau douce D’une nymphe au corps de sirène d’océan Vagues longues d’une chevelure rousse Sur la plage de sable fin les corps d’amants
Le ciel porte toutes les incertitudes Ennuagé noir de violence contenue Quelques galets gris brisent la platitude D’un sol humide aux larmes des jours retenues
A l’horizon la courbe terrestre se plie Sur les mystères d’un ailleurs impossible Ici demeurent les souvenirs en vigie La solitude se confond d’indicible.