Un œil bleu perce le ciel de nuages gris Vers l’avenir obstrué par la grisaille. Les jours de miel sucré les douces embellies Brillent d’un futur au-delà des murailles.
Un plafond de coton pesant de sa ouate, Traits d’une plume noire englobant le monde, S’ouvre d’un iris, qui d’espace s’éclate, Vers l’infini de promesses vagabondes,
Vite refermé par des paupières lourdes D’eau volatile de brumes infernales, Comme pétri par des mains froides et gourdes. Des nuées masquant l’envolée abyssale.
Au-dessus du quotidien, l’envol du rêve A trouvé une fenêtre ouverte un départ, Échappatoire certain vers une trêve, Espace de paix où pointer tous les regards.