Violeurs de lutte des castes, Clandestins des réalités, Militants iconoclastes, De leurs intérêts affidés, Ils ont mordu sa chair au sang, Se sont repus de violence, Le racket payable au comptant De leur sale jouissance.
Durand des années sans répits, Ont dénoncé au quotidien Ses actes comme étant impies Violant leurs acquis et leur bien. Des oripeaux de l'histoire, S'étaient fait un ample manteau Sur les tromperies sans gloire Qu'ils assignaient à leurs féaux.
Sous cette cape de vertu Se donnaient à plaindre et souffrir Du pouvoir fou d'un incongru, Dont ils se disaient les martyres'. L'ont accusé de tous les mots, De violence et harcèlement, L'auraient brûlé au chalumeau Pour qu'il se tût résolument.
Il était grain de sable noir Des rouages de ce plaisir, Qu'ils prenaient à toujours avoir Satisfaction de leurs désirs. Ils ont tapé sans vergogne Sur sa personne et son honneur, Parachevant leur besogne Par le règne de la terreur.
Las! A tirer sur la corde, Ils ont décousu tous les liens Qui faisaient miséricorde De ceux qu'ils tenaient sous leur main. Petit grain de sable a grippé Leur très belle mécanique, Ils viennent de prendre en plein nez Un coup de foudre électrique.
Contre-offensive d'innocents!!! Les fervents du rentre-dedans S'en sont enfin pris plein les dents! Sont alors gros-jean comme' devant... Pas de morale à cette' histoire... Z'étaient trop cons pour profiter! De beaux salauds au dévidoir Du fil du temps de société.