L’infini se propage en ses impostures, Dans l’espace temps d’énergie et lumière. Mega, giga, puissances courbes allures. Beson de Higgs du probable élémentaire.
L’univers incertain de son unicité Développe ses grandiloquentes formes. Physique, relatif, d’extension gravité, Bousculant sans limite ses propres normes.
Une onde particule est venue, troublion, D’harmonie apparente décohérence. Les atomes d’amour, dans leur intrication, rayonnement du corps noir des dépendances.
Langue mathématique des vortex d’oublis, Synapses quantiques des métamorphoses, L’humain cryogénise bleues ses embellies, Aux contours des temps de son apothéose.
Jusqu’aux fragmentations infimes de l’espoir, Rudolph, entre les bulles de son Champagne, Peint de couleurs vives les ondes désespoir, Virevoltant sur un grand mât de cocagne.
Voyage surréaliste en mots de science, Dans une rencontre croisée des inconnues, D’équations, de sensations, d’arborescences, Où résonne l’impermanent entr’aperçu.