Comme un papillon sortant d’un cocon je suis libre enfin. Porté par le vent au gré des courants je la cherche en vain. Mon unique fleur il suffit qu’elle s’ouvre pour que je la trouve. C’est sûr que sans elle j’en perdrai mes ailes et puis sombrerai. Au fond du bassin, mélangé aux miasmes, je suffoquerai. Mon unique fleur, envoie ton parfum que l’on se retrouve.
Extrait du roman ''L'amour, les ascenseurs et les grillons''