Rien ne peut réjouir plus l’esprit que ces arts Unis en poésie en sculpture en peinture Regardant tristement le glaive à la ceinture Usé par ce Romain empirique César
Qui combat et tue sans savoir que l’ennemi N’est pas celui qui se trouve face à sa face Mais dans son mal de cœur espéré qu’il s’efface Par les moyens que dans Satan la haine mit
S’il avait eu l’idée de naître avec Mozart La musique eût pu être au cœur de son empire Qu’il a constitué en élevant le pire Au faîte de sa tête où claire un nom César !