Et voici que revit un ami de midi Connu au bar de l’U dans la ville hugolienne Qui rapplique à minuit et mon vieil ami dit Voudrais-tu me pousser ta vieille tyrolienne
Folle incongruité samba de Brésilienne Avant-premier salut d’une fin de lundi Qui me veut dans l’instant chanter comme Emilienne En vibrant dans un vent que les cieux ont maudit
Et yodler du Tyrol en cité espagnole Qui se lamente à l’eau forte du Flamenco Quand mon Emilienne se shoote avec sa gnole
Est bizarrerie double eu égard à Franco Qui fut l’ami d’un très petit-fils d’Isabelle Différent du mien qu’Emilienne dit rebelle.