Il avait la joue rose et la bouche gourmande, Le geste délicat, la parole sensée, Il eût pu être artiste aux yeux bleus en amande D’autant que son nez fin respirait la pensée.
Le cheveu ondulait, grisonnant, débordant Sur l’oreille plaquée et la bouche montrait Une langue vermeille entre le blanc des dents Aiguisées qui rayaient les miroirs de grands traits.
Mais – pardon - sur le front, serpentait un sillon Qui passait par la joue pour aller à la gorge Où siégeaient les enfers et la damnation De Georges le terrible assassin qui égorge.