La vie se conduit sans un pilote d’essai Qui la mènerait à la ligne d’arrivée Avec les yeux fixés sur une main rivée Au panneau indiquant « bienvenue au décès »
Gonflée, l’unique vie sait qu’il lui faut rêver Et passant à l’aplomb de l’écriteau funeste Sort sa voix forte de stentor qui l’admoneste : « Petit grigris fini moi je vis for ever. »