Chaque pierre est posée qu’il relie sans ciment Et l’ensemble monte au dernier niveau du saule Pleurant tant qu’il fait tout tomber d’un coup d’épaule Et puis procède à son propre licenciement
L’arbre sèche sa larme ultime et bon console Le bâtisseur d’enceinte en un balbutiement Plus timide qu’un vent qui vole sans boussole Et qui ne se donne pas au remerciement
La superposition de la petite strate Ne plaît pas forcément à qui est déjà grand Qui le cache et qui le tache avec du nitrate
Même si la pierre est exempte de ciment Mais pleine de terre et remplie de la poussière De tant d’éléments à l’emprise tracassière.