Pour m’améliorer, j’ai lu trois fois Sorgel Et je crois que ce choix me sera bénéfique Car je ne veux pas que me saisisse le gel Quand ma vessie pisse une urine maléfique
Que je sache depuis j’ai fait quelque progrès Approuvé par cette bonté de l’entourage Qui comme moi ne se rend jamais au congrès Où l’on se parle avec ou pou ou lente ou rage
Non je garde mon coin et me montre discret Même la nuit quand la lune jaune l’éclaire Mais j’assure que je conserve ce secret A part à la sueur la seule qui me flaire
J’ai délaissé le sucre et me sert plus du sel Qui attire le nez allongé du moustique Cherchant à me piquer dix vers dans mon missel Dont Sorgel est muet dans son art poétique.