J’aime ses yeux verts dans son teint de lait Où le soleil mit plus d’une lentille ; Je la sus après un certain délai Tendre, belle, vive et plus que gentille.
La nuit, quand elle s’assied dans son lit, Je me colle à son flanc chaud pour m’étendre Et je dis qu’elle est, oui, quand elle lit, Gentille, vive, belle et plus que tendre.
Elle cuisine souvent de fins mets En invitant à sa table un convive Qui la compare à une fleur de mai Tendre, gentille, belle et plus que vive.
Il essaiera de jouer au matou Pour amadouer son côté rebelle Que je sais assez mais elle est surtout Vive, gentille, tendre et plus que belle.