J’ai la chance d’avoir une vue claire Sans lunettes avec seuls deux nus yeux Que je dirige adroitement pour plaire A Lynne au front creux à l’air ennuyeux
Elle semble ne pas être contente D’avoir vécu de trop nombreux printemps Sans voir l’amour de l'étoile montante Descendre sur elle en un rien de temps
Un regard bref ou un clin d’œil détend Même s’il ne l’est de façon constante Et Lynne entend à rien ne céder tant Qu’un céleste trait clair ne la contente
Pour nettoyer son visage crayeux J’ai balancé mon rond globe oculaire Sur son front creux qui devint plus soyeux Que recouvert d’une crème solaire.