Je me souvenais de mon âme dépensée A veiller ma pensée Axée et concentrée sur le vieux souvenir De mon bel avenir Qu’hélas je n’eus plus la patience d’attendre Tant ma peau devint tendre.
Désormais, tout ce que je voulais est passé Et je ne sais pas ces Chemins où est allée ma si belle espérance Confrontée à l’errance De mon âme harassée détachée de mon corps Et que j’adore encor.