Je suis inquiet au sujet de Nicolas Qui au chômage ne perçoit plus de salaire Et malgré qu’il ne prît ni coca ni cola Il va boire son soul seul dans une sale aire
Je suis inquiet au sujet de ses transports Qu’il utilise avec pas moins de six voitures Et il devra peut-être alors penser aux ports Où l’attendent à quais les bateaux en voilures
Raisonnable n’est pas de s’appeler Hulot Quand d’autres bien plus beaux s’appellent en semaine Naviguant sur les flots ou voyant au hublot Que sur terre la vie au théâtre se mène
Adieu l’écologiste, au revoir l’écolo Qui n’a pas pu geler les eaux de la banquise Mais rires et chants et joyeux jeux des colos* Transcendent les enfants à la fraîcheur exquise.