Garde-toi de cet as à seins Qui met son nez dans la poitrine En ouvrant bien chaque narine Pour sentir sur les doux coussins Les boutons lactés assassins.
Fais attention à sa main Qui se promène sur le ventre Entre les reins, en bas, au centre En connaissant bien le chemin Qu’il empruntait déjà gamin.
Ne laisse pas sa rouge bouche Se poser au creux de ton cou En lui donnant un petit coup Sur la joue et dis-lui « pas touche, Va te rafraîchir sous la douche »
Réfrène-le dans son ardeur A vouloir tâter de ta fesse Et si son appétit s’affaisse Il demeure un ambassadeur Du royaume de l’emmerdeur.