Mussolini voulut l’Italie à sa botte Et les Italiens surent le déchausser ; Aujourd’hui, toute la péninsule barbote Au fond du marécage et doit se rehausser.
Qu’elle essaie d’éviter d’imiter une France En danger et lorgnée par un peuple étranger Au but inavoué d’assécher sa souffrance En lui faisant penser que « ça » peut s’arranger.
Qu’elle ne prenne pas exemple sur l’Espagne Encornée sans pitié par le dernier taureau Elevé sur son sol aride qu’accompagne L’asiatique hidalgo qui sera son bourreau.
Mais qu’elle se tourne vers une Germanie Plus confiante – unie - plus grande que jamais Après avoir nourri sa légère manie A panser un passé privé de pimpants mais.