Livré à lui-même, l’objet seul se morfond Et appelle en silence au moins un petit geste Un effleurement, un regard qui le confond Avec un aliment aussi bon que digeste
Alors inanimé, vite voici qu’il vit Et se satisfait de n’être pas qu’une chose Mais surtout, mon amour, le plus qui le ravit Est qu’il est un tableau où fleurit une rose.