En train de le peler, elle a la larme à l’œil Et se plaint au bon dieu : l’oignon me rend malade Puis elle va laver à grande eau sa salade De ses doigts boudinés dont les bouts sont en deuil Qui placent la masse d’une grasse limace Dans sa bouche et l’avale…et sans mea culpa (Car elle aime l’en-cas avant le vrai repas) Quand, d’un coup, elle fait au chat une grimace Puis rosit de plaisir, elle sait que c’est Paul Qui la prend par l’épaule et lave avec Popol Son propre sale oignon de sa lance d’Hercule ; Midi : le coucou sort, chante, avance et recule.