In illo tempore, pour qui don’ votait-on ? Je me souviens très bien de Laguiller Arlette A qui j’avais dit : vous êtes une vraie starlette Qui cachez les boutons marron de vos tétons.
Elle avait répliqué : je suis mieux que Jospin : Je chante « mon p’tit loup » lui, c’est les feuilles mortes ; Perret, d’accord, n’est pas de Prévert le copain Mais il m’apporte des idées encore fortes.
Mais, Arlette ce que tu dis n’a rien à voir Avec la star aux seins perdus dans leur corsage… - Mais, corne d’aurochs, je ne pouvais pas savoir Que te plussent moins mes pensées que mon corps sage !
Demain, tout va changer mais pour quel vote est-on ? Fiyon, Mac Rond, Amon, Méchant-Long, Jean Lassalle ? Immense évidemment auront ces gens la salle Sans Laguiller le nez sur ses nouveaux tétons.
La saison aux tisons sonde onze rejetons Dont berger, ouvrier, banquier et utopiste Qui vont tout chaud courir autour de l’autopiste Mais nous savons quels sont ceux que nous rejetons.