Il me paraît sain et plutôt bénin D’être atteint au cœur par une géante Vivant dans une hutte du Bénin En butte à une douceur exigeante
En ne voulant que bouche et main d’un nain Sur le pourtour et dans la plaie béante Affectant dès né l’être féminin Dont la souffrance lui est affligeante.
Géant, mon jet blanc contient un venin A distiller à une mécréante Ne sachant rien d’un pouvoir léonin Apte à gâter la plus intransigeante.